Différents biais cognitifs font que trop souvent nous n’appliquons pas la consigne « tenir la rampe » pourtant simple :
Un biais de sur-confiance : nous sommes persuadés de maîtriser depuis très longtemps la montée ou la descente d’escaliers. Et l’accident n’arrive qu’aux autres !
Un biais de saillance : dans le contexte de décision, la rampe en question n’est pas suffisamment remarquable, elle ne « saute pas » aux yeux… et n’attire pas la main !